Al compás del corazón / Late un corazón
Tango de 1942
Paroles d’Homero Expósito – Musique de Domingo Federico
Quelques enregistrements :
En 1942
puis, en 1952
et encore
enfin
(*) Titre alternatif : Late un corazón
Al compás del corazón / Late un corazón
Late un corazón...
Déjalo latir...
Miente mi soñar...
Déjame mentir...
Late un corazón porque he de verte nuevamente
Miente mi soñar porque regresas lentamente.
Late un corazón...
Me parece verte regresar con el adiós.
Y al volver gritarás tu horror
el ayer... el dolor... la nostalgia
pero al fin bajarás la voz
Y atarás tu ansiedad de distancias.
Y sabrás porque late un corazón
al decir... ¡Qué feliz!...
Y un compás, y un compás de amor
unirá para siempre el adiós.
Ya verás amor...
Qué feliz serás...
¿Oyes el compás?
es el corazón...
Ya verás qué dulce son las horas del regreso
Ya verás qué dulce los reproches y los besos,
ya verás amor...
Qué felices horas al compás del corazón...
Au rythme du cœur / Un cœur bat
Un cœur bat ...
Laisse le battre...
Mon rêve est menteur...
Laisse-moi me leurrer.
Un cœur bat parce que je vais te revoir ;
mon rêve ment parce que tu tardes à revenir.
Un cœur bat...
Il me semble te voir revenir avec un au revoir.
Et, à ton retour, tu vas crier ton horreur...
Le passé… la douleur… la nostalgie...
Mais finalement ta voix va s’adoucir
et tu feras taire ton inquiétude de la distance.
Et tu sauras pourquoi un cœur bat
en disant : quel bonheur ! ...
Et un battement, un battement d'amour,
unira pour toujours l’au-revoir.
Tu verras, mon amour,
comme tu seras heureuse...
Entends-tu ce battement ?...
C’est celui du cœur...
Et tu verras comme ils sont doux les moments du retour,
et tu verras comme ils sont doux les reproches et les baisers
Et tu verras, mon amour…
comme ils sont heureux ces moments, au rythme du cœur.
Traduction François Benoist ©
Voici la version Miguel Caló - Raúl Berón (vidéo accompagnée, dans les notes, par le texte et sa traduction en anglais par Paul Bottomer ©).
Voici l'interprétation d'Hugo del Carril, avec l'introduction parlée de Julián Centeya :