Al compás del corazón / Late un corazón

Tango de 1942

Paroles d’Homero Expósito – Musique de Domingo Federico

 

 

 

Quelques enregistrements :

 

En 1942

  • Hugo del Carril, accompagné de guitares - introduction parlée de Julián Centeya (*)
  • Carlos Di Sarli, avec Alberto Podestá ;
  • Miguel Caló, avec Raúl Berón ;
  • Domingo Federico, avec Carlos Vidal (*) ;

puis, en 1952

  • Dante Puricelli, avec Alfredo de la Colina ;
  • Carlos Di Sarli, avec Oscar Serpa ;

et encore

  • Francisco Canaro, avec Juan Carlos Rolón, en 1955 ;
  • Armando Pontier, avec Julio Sosa, en 1960 ;
  • Miguel Caló, avec Lucho Gatica, en 1965 ;
  • et aussi avec Raúl Del Mar, la même année ;

enfin

  • Domingo Federico, avec Carlos Vidal, en 1969 (*)
  • Alberto Di Paulo, avec Alberto Podestá, en 1973 (*)
  • et aussi les mexicains Rafael De Paz et Pedro Vargas au chant (*)

 

(*) Titre alternatif : Late un corazón

 

Al compás del corazón / Late un corazón

Late un corazón...

Déjalo latir...

Miente mi soñar...

Déjame mentir...

Late un corazón porque he de verte nuevamente

Miente mi soñar porque regresas lentamente.

Late un corazón...

Me parece verte regresar con el adiós.

 


Y al volver gritarás tu horror

el ayer... el dolor... la nostalgia

pero al fin bajarás la voz

Y atarás tu ansiedad de distancias.


Y sabrás porque late un corazón

al decir... ¡Qué feliz!...

Y un compás, y un compás de amor

unirá para siempre el adiós.

 

Ya verás amor...

Qué feliz serás...

¿Oyes el compás?

es el corazón...

Ya verás qué dulce son las horas del regreso

Ya verás qué dulce los reproches y los besos,

ya verás amor...

Qué felices horas al compás del corazón...

Au rythme du cœur / Un cœur bat

 

Un cœur bat ...

Laisse le battre...

Mon rêve est menteur...

Laisse-moi me leurrer.

Un cœur bat parce que je vais te revoir ;

 

mon rêve ment parce que tu tardes à revenir.

Un cœur bat...

Il me semble te voir revenir avec un au revoir.

 

Et, à ton retour, tu vas crier ton horreur...

Le passé… la douleur… la nostalgie...

Mais finalement ta voix va s’adoucir

et tu feras taire ton inquiétude de la distance.

Et tu sauras pourquoi un cœur bat

en disant : quel bonheur ! ...

Et un battement, un battement d'amour,

unira pour toujours l’au-revoir.

 

Tu verras, mon amour,

comme tu seras heureuse...

Entends-tu ce battement ?...

C’est celui du cœur...

Et tu verras comme ils sont doux les moments du retour,

et tu verras comme ils sont doux les reproches et les baisers

Et tu verras, mon amour…

comme ils sont heureux ces moments, au rythme du cœur.

 

 

Traduction François Benoist ©


 

     Voici la version Miguel Caló - Raúl Berón (vidéo accompagnée, dans les notes, par le texte et sa traduction en anglais par Paul Bottomer ©).

 

     

     Voici  l'interprétation d'Hugo del Carril, avec l'introduction parlée de Julián Centeya :