Tango de 1953
Paroles de Federico Silva - Musique de Donato Racciatti.
On notera les interprétations de ce tango en 1958 par :
Hasta siempre, amor...
Hasta siempre, amor. Pasarás de otro brazo (1)
y dolerá el fracaso...
Y entre la gente buscarás
Hasta siempre, amor.
Y no me llames, si me ves
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Adieu, mon amour...
Adieu, mon amour. Tu vas passer dans d’autres bras ; cet échec va me faire mal... comme aujourd’hui.
Adieu, mon amour. Un cœur comme le mien - qui a partagé ta tristesse - tu n’en trouveras pas.
Et parmi les gens, tu chercheras la main amicale que je t’ai offerte... et alors seulement tu comprendras que c’est par amour que je t’ai perdue !
Adieu, mon amour, Tu vas passer dans d’autres bras ; cet échec va me faire mal...... comme aujourd’hui, tout comme aujourd’hui..!
Adieu mon amour. Aujourd’hui le souvenir me saigne comme une nouvelle épine de mon cœur.
Adieu, mon amour. Quand tu rêveras de moi par les nuits de froidure, eh bien, je ne serai pas là.
Et si tu me vois, moi aussi, avec un autre amour, ne m’appelle pas, car il est inutile d’attendre si l’espoir est déjà mort.
Adieu, mon amour. Tu vas passer dans d’autres bras ; cet échec va me faire mal... comme aujourd’hui, tout comme aujourd’hui...! |
(1) Sur la partition pour piano, on trouve, sous la portée, Te veré de otro brazo (Je vais te voir dans d'autres bras).
Traduction François Benoist ©
Sur le site d'AnnecyTango et sur le blog El Compadrito (où vous verrez Rodrigo Rufino et Gisela Passi danser ce tango sur la version Di Sarli - Casares), Jacques Ancet donne une traduction en français du texte, dans laquelle on devine son souci de faire coller au plus près ses mots avec le phrasé du texte espagnol, donc aussi avec le dessin mélodico-rythmique de la musique.
Sur la vidéo ci-dessous, on entend l'enregistrement de Fulvio Salamanca chantée par Armando Guerrico avec, en prime, Mano Cruel, chanté en duo avec Jorge Garré.
Voici aussi la version Carlos Di Sarli - Horacio Casares (vidéo accompagnée, dans les notes, par le texte et sa traduction en anglais par Paul Bottomer ©).