Tango de 1942.
Paroles et musique de Miguel Caló et Osmar Maderna.
On notera plusieurs enregistrements de ce tango :
ceux, en 1942,
et aussi ceux de
Qué te importa que te llore
Déjame (1) mentir que volverás,
que volverás con el ayer,
es un pedazo de recuerdo,
que no puede ser esa esperanza
que me ahoga. a comprender que no vendrás.
Mucho te esperé sin comprender,
sin comprender porque razón
te has alejado y no volviste—
que se junten nuestras vidas... (1) L’espagnol argentin, dans ces formes verbales d’impératif 2ème personne du singulier avec pronom complément, fige volontiers l’accent tonique : déjame au lieu de dejame. |
Que t’importe que je te pleure
qui me submerge. me faire à l’idée que tu ne reviendras pas.
dans la chaleur de ce que tu as été...
que nos vies se rejoignent… |
Voici la version de Miguel Caló, avec Raúl Berón, de 1942 (vidéo accompagnée, dans les notes, par le texte et sa traduction en anglais par Paul Bottomer © - reproduite avec son aimable autorisation).