Tango des années 1950.
Paroles d'Italo Silvestre Gianetti (Yaraví) - Musique
de Carlos Viván.
Quelques Interprétations :
Nuestra noche
Muchachita,
y esta noche, recordándote, querida, a mi almohada dulcemente besaré. |
Notre nuit
Petite fille, n'oublie pas que ce soir, comme toujours, je serai au coin de la rue où je t’ai connue et où j’ai osé te voler le premier baiser. Si heureux et enlacés, nous irons comme en rêve, mon coeur, jusqu’au ciel d'amour qui attend la plus jolie petite femme, que tu es.
Cesse de pleurer, mon amour, ça te fait du mal. Cesse, tu me rends très sentimental. Ton passé, je ne veux pas le connaître, je veux tes baisers. Moi aussi, j’ai connu la mort du coeur... Et qu’est ce que cela fait ? Ma vie, Approche-toi un petit peu plus. Mon âme, c'est la nuit pour nous aimer.
Petite fille, si jolie, maintenant, il est temps que je parte. Oh! ... Quel chagrin d'avoir à nous séparer, mon cœur commence à souffrir. Mon amour, A demain ! Au coin de la rue comme toujours j’attendrai et ce soir, me souvenant de toi, ma chérie, doucement je couvrirai mon oreiller de baisers.. |
La version Armando Cupo - Alberto Morán :