Tango milonga - musique de José Luis Padula (1908).
On doit à Eugenio Cárdenas deux textes, répertoriées sous Cárdenas 1 et Cárdenas 2, qui, évoquant les heures glorieuses de la libération du pays, mentionnent "l'Hymne qui, majestueux, monte des lèvres argentines".
En attendant la traduction complète de ces textes, voici, avec sa traduction, le couplet commun aux deux versions, tel que l'a chanté Teófilo Ibañez avec la Orquesta Típica Brunswick en 1931.
Los campos están de fiesta
y por la floresta
el sol se derrama,
y a sus destellos de mágicas lumbres,
el llano y la cumbre
se envuelven de llamas.
Mientras que un criollo patriarcal
narra las horas
de las campañas
libertadoras,
cuando los hijos de este suelo
americano
por justa causa
demostraron
su valor.
Les champs sont en liesse
et, le soleil se répand
à travers la frondaison ;
et dans son scintillement de lueurs magiques,
et la plaine et le somment de la colline
s’enveloppent de flammes.
Tandis qu’un patriarche de chez nous
conte les heures
de ses campagnes
de libération,
aux temps où les fils de cette terre
d’Amérique,
pour une juste cause,
ont fait montre
de leur courage.
Nous n'avons pas trouvé l’enregistrement de la version Osvaldo Tarantino - Alberto Marino, de 1964, mentionnée sur le site Diario Andino (publication de Walter Ércoli du 12/07/2013).
Voici la version Orquesta Típica Brunswick chantée par Teófilo Ibañez en 1931.
On sait, grâce à la publication de Walter Ércoli du 12/07/2013 sur le site argentin Diario Andino, que c'est à la demande d'Agustín Magaldi (qui ne souhaitait pas enregistrer ces paroles d'Eugenio Cárdenas) que d'autres paroles ont été écrites, par Lito Bayardo.