Tango de 1932-1934
Paroles de Mario Battistella - Musique de Mario Melfi.
et aussi
Remembranzas/Remembranza
Cómo son largas las semanas
cuando no estás cerca de mí
¡Ah
¡qué triste es recordar
te sigo viendo como ayer. |
Souvenir(s)
Comme elles sont longues les semaines lorsque tu n’es pas près de moi. Je ne sais quelles forces surhumaines me donnent du courage loin de toi. Morte, la lumière de mon espoir, je suis comme un naufragé en mer, je sais que je me perds au lointain mais je ne peux me résigner.
Ah !... Si triste le souvenir, après autant d'amour, cette joie qui est passée... Fleur d'une illusion, notre passion s’est fanée. Ah ! ... oublie mon dédain, reviens, ma douce à notre amour, et il pourra refleurir notre désir comme cette fleur.
Dans notre chambre tiède et rose tout est pareil à autrefois ; en chaque meuble, en chaque chose, comme hier, toujours je te vois. Elle témoigne de ma douleur ta photo sur la petite table et l'hortensia déjà flétri qui fut le chant de notre amour. |
Voici
- la version de Ricardo Malerba, avec Orlando Medina, de 1943 (vidéo accompagnée, dans les notes, par la traduction en anglais du texte par Paul Bottomer ©) :
- celle de Juan D'Arienzo, avec Osvaldo Ramos, de 1974 :
et la version d'Ernesto Franco :