Valse de 1922
Paroles de Carlos Pesce - Musique d’Octavio Barbero
Quelques enregistrements :
La valse a aussi été interprétée par le Cuarteto de Punta y Taco.
Francia
París, donde el amor reinó
en busca del amor
que allí, yo acaricié.
Si no vuelvo más a tus riberas, |
La France
Paris où a régné l'amour, et où mon âme a pu revivre une passion, je veux, dans ma chanson d'amour, évoquer tes lumières. Rêve romantique, j’ai connu tes nuits sans pareilles et en France c’était un paradis en fleurs. Aujourd'hui, je souffre de ne pouvoir retourner à la recherche de l'amour que j’ai nourri là-bas.
La France c’est la lumière, l'âme et le plaisir de cette chanson, comme un acte de foi, fleur et femme, vin et champagne, par la nuit bleue de mon désir. Au souvenir de ce lieu où j'ai passé mon aube heureuse, je sens des pleurs à mes yeux, je sens battre mon cœur j'élève une prière à Dieu et je pleure au lieu de rire.
Nuit de France que je n'oublierai jamais sous ta lune mon âme a soupiré. France de ma vie, rappelle-toi que je t'aime, pour tes femmes, pour tes paysages, pour tes enchantements, je vais te donner mes rimes.
Si je ne reviens plus sur tes rivages, si Paris n’illumine pas mes visions,
en un seul adieu ma chanson va te dire combien je t’ai aimée, France de mon cœur.
Traduction François Benoist © |
On ne trouve pas de version chantée de cette valse. Écoutons la version instrumentale enregistrée en 1943 par le Quinteto Pirincho dirigé par Francisco Canaro.