Tango de 1945
Paroles de Cátulo Castillo - Musique de Juan Larenza.
Quelques enregistrements :
En 1945 :
En 1946 :
Para qué te quiero tanto
Fue tu sombra oscura...
Fue tu sombra oscura... |
A quoi bon tant t'aimer ?
Ce fut ton ombre sombre... Ce fut la punition de ton adieu... Ce fut cette absence de tendresse qui m'attache à la torture de ta voix ... Quel charme fatal m’enchaîne à ton mépris, quand je crie à me briser ... A quoi bon tant t'aimer ? A quoi bon ?
A quoi bon tant t'aimer ? si je ne peux pas être heureux, si la vie est une horreur... si je te porte en moi à en mourir. Ton amour! ... Ton amour! ... traître qui, quelque jour, a laissé ses braises parmi mes cendres et s’en est allé ... Ton amour! ... Ton amour! ... D'où je suis, je l'appelle ; c'est alors que j'entends que tes rires se moquent de moi...
Comme tu m’as fait souffrir ! ... Il pleut toujours dans cet hier, de la pluie douce et triste du soir où tu t’en es allée sans retour . ..
Ce fut ton ombre sombre... Ce fut la punition de ton adieu... Et c'est le fiel de cette amertume qui m'attache à la torture de ta voix. |
Il existe une valse portant le même titre due au péruvien Augusto Rojas (texte sur le site Hermanotango ou sur le site Elementos del Perú (traduction à venir).