Tango de 1933
Paroles et musique de Daniel Álvarez.
Quelques interprétations :
Cómo se muere de amor
En una casita blanca
con ventanal al jardín,
(1) Variante: Y lentamente, |
C’est ainsi qu’on se meurt d’amour
Dans une petite maison blanche avec fenêtre sur le jardin, on entend très doux, au loin, l'harmonie d'un violon. C'est une petite maison blanche une petite table, une fleur, plusieurs chaises distraites qui contemplent attristées un pauvre malade d'amour.
Pour l’éternité un sourire s’est glissé sur ses lèvres, emprunt de douleur. Et dans son regard serein et pur, il y a un livre d'amertume et un roman d'amour.
Puis, mystérieusement, s’en vient une femme qui, d’un baiser sur le front, déverse tout son amour... Tous se sont tus et contemplent avec douleur le froid visage de cette femme où est inscrite l'empreinte de celui qui se meurt d'amour ...
Et les violons dans un soupir disent: « Je trouve l’inspiration dans un poème d'espoir », très délicatement, comme s’ils craignaient que leurs trilles n'offensent le rythme d'une prière.
Traduction François Benoist ©
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Voici la version d'Alfredo De Angelis, avec Floreal Ruíz de 1943, le texte d'introduction étant dit par le chanteur Néstor Rodi (vidéo accompagnée, dans les notes, par le texte et sa traduction en anglais par Paul Bottomer ©).