Tango de 1942 - Musique d’Enrique Delfino – Paroles de Julián Centeya.
Quelques interprétations de 1942 :
On notera aussi
Claudinette
Ausencia de tus manos en mis manos,
La calle dio el encuentro insospechado, definitivamente ya perdida, me la negó la calle, la calle de París. |
Claudinette
Tes mains ne sont plus dans mes mains, ta voix s’est éloignée et n'est plus ... Ma jolie Claudinette d'un rêve vain, Maintenant que je t’ai perdue, où vas-tu aller ?
La rue m’a offert cette rencontre inattendue, c’est la rue qui plus tard t’a emportée... Tes grands yeux noirs, tout enfiévrés, ont revêtu d’obscurité mon pauvre cœur.
Minuit à Paris dans ce café-concert, comme enveloppé de la brume d’une pluie fine et triste je t'ai vu disparaître.
Tu m'as laissé avec la peine de savoir que je t'ai perdue, petite morveuse douce et jolie, tu m'as condamné à n’être jamais heureux.
Mon rêve est un échec qui dit ton nom ; il attend ta présence, mon coeur, par le chemin d'un rendez-vous dans l'ombre dans un pays de lune et de bec de gaz.
Ma petite Claudinette, si chère, -son chemisier bleu et sa joyeuse chanson-, perdue sans retour, la rue me l’a reprise, la rue de Paris.
Traduction François Benoist © |
Voici Claudinette par Mercedes Simone avec la Orquesta Roberto Garza en 1942 :
et la version de Juan D'Arienzo avec Héctor Mauré, également de 1942 :